ce qu'en dit la presse
Posted: 18 Sep 2009 11:12
La Chevrolet Corvette était souvent considérée comme la seule vraie voiture de sport américaine jusqu'à la sortie de la Dodge Viper. Reste que la Corvette est en place depuis les années 50 et que son évolution a suivie celle de la voiture américaine.
Ainsi, la troisième génération de Corvette est apparue en 1968. Elle se caractérisait par sa ligne spectaculaire qui dégageait une impression de grande puissance. Par la suite, aucune ligne n'inspira le même sentiment. Les dernières versions auront un large becquet arrière qui enlèvera pas mal de finesse, alors que les Corvette suivantes seront obligées (les temps changent) à plus de discrétion.
Sous le capot, on verra de tout. Tout, c'est un monstrueux 454 ci (7.4 litres) de près de 400 chevaux en 1970, mais c'est aussi un 350 ci (5.7 litres) castré par les normes antipollution de seulement 200 chevaux quelques années après...
Reste le châssis. Et sur une américaine de cette époque, on s'attend au pire. A tort. Loin de nous l'idée de vous raconter qu'elle n'a rien à envier à une LS1, mais à condition de ne pas faire n'importe quoi, on peut prendre pas mal de plaisir à bord d'une Corvette de cette époque. Le moteur, qui glougloute sous le capot dont on ne voit pas le bout, a beaucoup de couple et de la réserve à tous les régimes. Les limites sont faciles à cerner, puisque ce sont celles des pneus.
Le budget, c'est là une bonne surprise. Les Corvette III ne sont pas rares en occasion et leur cote oscille autour de 15 000 euro. Les pneus, s'ils s'usent vite, ne sont pas d'une taille inconsidérée, et la mécanique est indestructible. Reste la consommation, car la bête fonctionne au plombé mais, le couple aidant, on peut rester dans de raisonnables limites...
Etes-vous d'accord?
Ainsi, la troisième génération de Corvette est apparue en 1968. Elle se caractérisait par sa ligne spectaculaire qui dégageait une impression de grande puissance. Par la suite, aucune ligne n'inspira le même sentiment. Les dernières versions auront un large becquet arrière qui enlèvera pas mal de finesse, alors que les Corvette suivantes seront obligées (les temps changent) à plus de discrétion.
Sous le capot, on verra de tout. Tout, c'est un monstrueux 454 ci (7.4 litres) de près de 400 chevaux en 1970, mais c'est aussi un 350 ci (5.7 litres) castré par les normes antipollution de seulement 200 chevaux quelques années après...
Reste le châssis. Et sur une américaine de cette époque, on s'attend au pire. A tort. Loin de nous l'idée de vous raconter qu'elle n'a rien à envier à une LS1, mais à condition de ne pas faire n'importe quoi, on peut prendre pas mal de plaisir à bord d'une Corvette de cette époque. Le moteur, qui glougloute sous le capot dont on ne voit pas le bout, a beaucoup de couple et de la réserve à tous les régimes. Les limites sont faciles à cerner, puisque ce sont celles des pneus.
Le budget, c'est là une bonne surprise. Les Corvette III ne sont pas rares en occasion et leur cote oscille autour de 15 000 euro. Les pneus, s'ils s'usent vite, ne sont pas d'une taille inconsidérée, et la mécanique est indestructible. Reste la consommation, car la bête fonctionne au plombé mais, le couple aidant, on peut rester dans de raisonnables limites...
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